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Le volume et le prix d’exportation du thé au port de Guangdong ont tous baissé pendant les premiers six mois de l’année courante
Origine de:Administration génér Auteur:Chinatea123.com   2013-04-23 13:16:23

 
Selon les statistiques de la douane, au cours des premiers six mois de cette année, le volume d’exportation du thé au port de Guangdong est de 8684 tonnes dont la valeur 26390000 USD, ce qui ont diminué respectivement de 9% et de 31.8% par rapport à la même période de l’année passée (ci-après la même). Ses exportations se caractérisent par quelques points ci-dessous :

1. Les entreprises d’exportation sont plutôt dans le secteur privé. Pendant la première moitié de l’année, les entreprises privées ont exporté 6471 tonnes de thé par le port de Guangdong, ce qui a baissé 7.8% mais représente 74.5% du volume total d’exportation de ce port. Les entreprises étatiques ont exporté 2180 tonnes qui occupent seulement 25.1% de la quantité totale.

2. Les principaux marchés sont le Hongkong, la Russie et le Japon. Pendant les premiers six mois de l’année, le volume exporté par le port Guangdong vers le Hongkong est de 2724 tonnes qui a baissé 45%. Les volumes exportés vers la Russie et le Japon sont de 1403 tonnes et de 871 tonnes, ce qui augmentent respectivement 28.5% et 49%. La quanité totale vers ces trois pays est de 4998 tonnes qui occupe 57.6% du volume total de l’exportation du thé de la même période.

3. Les principales variétés d'exportation de thé sont du thé vert, du thé noir et du thé Pu'er. Pendant les premiers six mois, le volume du thé vert exporté est de 3215 tonnes qui s’augmente 30.8% ; le thé noir et d’autre thé fermenté 2300 tonnes qui s’élève 4.7% ; le thé Pu’er 1485 tonnes qui a baissé 54.7%. La quanité totale d’exportation de ces trois varitétés est de 2300 tonnes qui occupent 80.6% du volume total exporté de la même période.

Depuis cette année, les principales raisons de la baisse d’exportation du thé sont comme suivantes :

1. Influence des barrières vertes: depuis ces dernières années, l’UE et le Japon ne cessent d’améliorer la norme d’importation du thé de Chine. A partir du 01/08/2005, l’UE a ajusté la valeur limitée de résidu d’ endosulfan du thé, le nouveau chiffre est de 0.01mg/kg. Le 26/02/2007, elle a décrété l’Ordonnance 2007/12/EC qui a été beaucoup modifiée si bien que le standard est devenu plus strict. De même, le Japon a commencé à appliqué officiellement le ‘ système de liste confirmée des éléments de résidus chimiques agricole dans les produits alimentaires’, ce qui aussi élever considérablement l’accès au marché du thé de Japon.

2. La concurrence au marché national et international a aggravé. Avec la liberté des droits de l’opération d’exportation du thé et l’annulation de gestion de la licence des quotas d’exportation pour le thé, de plus en plus de sociétés participent à l’exportation du thé, ce qui a conduit à une concurrence plus intense entre les entreprises. En outre, le thé de la Chine est non seulement face à la pression concurrentielle des marques internationales bien connues d’Europe, des États-Unis, du Japon et d'autres pays développés, mais également confronte un grand impact formé par l'Inde, le Sri Lanka, le Vietnam et d'autres pays, avec leurs avantages du prix.

3. La manque d'entreprises de premier plan : la majorité des entreprises chinoises de production, de transformation et d'exportation de thé sont de petites entreprises qui n’ont pas encore formé une production à grande échelle. On ne dispose pas la capacité de développer des produits commercialisables en fonction de différents besoins de différents marchés, ce qui affecte énormément la compétitivité des exportations de thé de la Chine.

Pour les difficultés cités ci-dessus, il est à proposer aux services concercés du gouvernement et aux associations de l’industrie du thé de prendre activement des mesures suivantes : premièrement, c’est d’accélérer à construire le système d’assurance de qualité et de conditions sanitaires, il faut renforcer strictement le résidu pesticide ; deuxièmement, il faut encourager et pousser les entreprises à créer leurs propres marques de la compétitivité internationale pour promouvoir l’exportation des produits caractéristiques chinoises ; en troisième lieu, c’est de develloper des sociétés de premier plan et de renforcer leur capacité de résistance aux risques.